Quand j’ai commencé la généalogie, un de mes objectifs était de découvrir d’où me venaient mes cheveux bouclés dont tout le monde me parle depuis toute petite. On m’a souvent demandé de quelles origines j’étais.
A ma connaissance, aucune origine étrangère.
Je suis remontée assez loin dans l’arbre et je n’ai rien trouvé.
En revanche, j’ai appris d’où me venaient ces cheveux. Et ils ne viennent pas que d’une seule branche.
De tous nos cousins-cousines, seules ma sœur et moi avons les cheveux frisés. Mon frère a les cheveux souples.
Mes cheveux c’est un peu « je t’aime moi non plus ».
Certains jours, je les aime, ils sont ma personnalité et souvent ils m’exaspèrent car ils n’en font qu’à leur tête.
Ceux qui ont des cheveux bouclés, frisés, texturés, savent !
Depuis que je sais de qui ils me viennent, j’accepte mieux leurs caprices et j’ai même de la tendresse pour eux, même les mauvais jours !
Je pense que la généalogie ça apporte ça. Savoir d’où l’on tient tel trait de caractère ou tel caractéristique physique peut aider à mieux accepter, et donner un sentiment d’appartenance à une famille, un groupe, un clan.
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Regarder de vieilles photos et trouver des airs de famille avec des personnes qui vivaient il y a parfois plus de 100 ans, c’est émouvant et je vous le conseille.
Mais nous n’avons pas tous la chance d’avoir de vieilles photos de famille à regarder.
Alors je profite de cet article pour parler à nouveau de ce livre :
Il révèle que l’on peut trouver des photos de familles aussi dans les archives publiques.
Bonnes recherches à tous !
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Stéphanie Durand
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